L’UBF à Ultra Basses Fréquences est un appareil innovant destiné au traitement du calcaire et de la corrosion. Il fait partie de la nouvelle génération d’appareils qui, équipant déjà plusieurs centaines d’installations, ont largement prouvé leurs performances. Un nombre croissant de donneurs d’ordre et de responsables de copropriétés ont bien compris les avantages de cet appareil. Ils s’en équipent plutôt que de conserver ou acquérir un adoucisseur dont le fonctionnement est contraignant et onéreux.
Ce qui est très utile, c’est la synergie qui s’exerce entre les divers effets de l’UBF. L’action préventive, qui est l’action principale et immédiate de l’UBF : elle limite l’entartrage d’autant mieux que l’action curative élimine peu à peu les dépôts de tartre existants dans les canalisations colmatées.
BON À SAVOIR : cette action curative n’est pas agressive comme le serait un traitement chimique. L’UBF convient donc parfaitement même pour un réseau ancien et fragilisé par le temps ou en raison de l’action corrosive exercée durant plusieurs années par un adoucisseur.
Action contre la corrosion d’un réseau acier : les dépôts de rouille se détachent d’autant plus facilement qu’ils sont souvent amalgamés au tartre ; ce qui facilite au cours des mois la formation d’un film de magnétite noir, inhibiteur de corrosion (qui vient donc se substituer à la couche de rouille brun-rouge friable). C’est l’effet bien connu de la passivation.
BON À SAVOIR : en présence de l’UBF, l’ajout de produits inhibiteurs de corrosion est inutile et même déconseillé.
Action sur le biofilm (ce dépôt visqueux qui se forme sur toute surface en contact permanent avec l’eau) : il constitue un réservoir potentiel de légionelles en cas de contamination du réseau. Or, les produits chimiques sont sans effet sur le biofilm. Donc éliminer les bactéries en suspension dans l’eau par désinfection, chocs chlorés ou thermiques, ne présente aucune garantie sur la durée (si le biofilm renferme des bactéries, elles peuvent s’en échapper à tout moment et recontaminer le réseau dès que les conditions leurs sont favorables).
BON À SAVOIR : l’UBF n’est pas un désinfectant, mais comme il permet de limiter le développement du biofilm (en particulier quand ce dernier est amalgamé au tartre), le milieu est alors moins propice au développement des légionelles.
On sait que l’entretien des équipements de production d’eau chaude, et encore plus celui du réseau des canalisations, est un problème majeur. Souvent, le personnel chargé de leur maintenance n’a pas le temps d’y consacrer le temps nécessaire ; aussi, lui demander d’assurer en plus la maintenance d’appareils destinés au traitement du calcaire est souvent voué à l’échec (raison pour laquelle la maintenance des adoucisseurs est si fréquemment sous-traitée, mais c’est un coût supplémentaire).
BON À SAVOIR : l’avantage de l’UBF, c’est qu’il ne nécessite absolument aucune maintenance : " une fois en place, il n’y a plus rien à faire ".
La présence de bactéries type légionelles dans l’eau, en nombre réduit, est un phénomène naturel, sans danger. Ce qui importe, c’est de ne pas leur donner les conditions favorables à leur multiplication, et notamment une plage de température de l’eau allant de 25 à 45°C environ. C’est la raison pour laquelle la règlementation impose une température minimum de 50°C en tout point d’un réseau eau chaude bouclé.
Or, si la température au départ est suffisante (55 à 65°C, selon les installations), c’est la partie retour de boucle d’un réseau qui pose problème (la canalisation eau chaude qui revient de l’appartement pour aller vers la chaudière se réchauffer).
En effet, il suffit qu’un des retours de boucle (souvent le plus éloigné de la chaudière) soit en partie colmaté pour que l’écoulement de l’eau y soit ralenti. Automatiquement, la température de l’eau, qui normalement doit se situer au voisinage de 50°C, va descendre sous ce seuil. Si des bactéries y sont présentes, à cette température elles vont rapidement se multiplier.
BON À SAVOIR : si la cause d'un mauvais écoulement de l’eau est due à un colmatage du réseau, la mise en place d’appareils UBF va dissoudre progressivement les dépôts de tartre. L’écoulement de l’eau se faisant mieux, la température remontera, éliminant de ce fait le risque d’avoir un foyer de légionelles. C’est beaucoup plus efficace sur la durée que procéder à un choc thermique ou chloré qui lui n’a d’effet que sur le court terme.
BON À SAVOIR : si dans un immeuble, un hôtel, un hôpital, on constate que plusieurs résidents situés sur une même boucle d’eau chaude ont l’eau qui met un temps anormalement long à atteindre la bonne température, c’est un bon indicateur. S’il est vérifié que c’est dû à l’entartrage du réseau, c’est une bonne raison pour équiper l’installation avec les appareils UBF. Ce sera du confort retrouvé pour les résidents et un moindre risque d’avoir à terme des légionelles.
(La pratique courante d’installer une pompe de bouclage plus puissante pour retrouver un meilleur débit s’avère être le plus souvent une dépense inutile : l’eau ne s’écoulera pas davantage dans les bouclages colmatés et sa vitesse deviendra trop élevée dans les autres bouclages, avec risque de bruits et de perforations).
Pendant longtemps, l’adoucisseur était le seul procédé crédible dans le domaine du traitement du calcaire. Car il est vrai que les « appareils anticalcaires » (type aimants permanents ou électroaimants et appareils à électrolyse) n’apportaient que rarement des résultats conformes à ce qui était annoncé.
Ce n’est plus d’actualité, du moins des appareils plus sophistiqués ou utilisant des technologies différentes sont apparus sur le marché et donnent des résultats très fiables. Souvent, ils sont même plus satisfaisants car plus complets que ceux obtenus avec un adoucisseur, c’est le cas de l’UBF.
Bien entendu, tous les appareils anticalcaires ne sont pas équivalents. Certains procédés, même convaincants pour traiter une maison individuelle, ne sont pas adaptés pour traiter des réseaux plus importants (ils n'ont pas d'effet rémanent, par exemple), ou avec une forte dureté de l’eau, ou ils ne sont pas implantés aux bons emplacements. Ils jettent le discrédit sur la profession.
Cependant, les adoucisseurs eux-mêmes sont loin de faire l’unanimité de ceux qui les utilisent ; certes, bien réglés, ils peuvent garantir une dureté de l’eau de 7 ou 8°f, par exemple.
Mais quel prescripteur engagera sa responsabilité par rapport au risque de corrosion, au risque de légionelles provenant de l’adoucisseur ? Et rares sont ceux qui évoquent le coût réel de son fonctionnement (bien souvent, ils n’en ont aucune idée ou se limitent au coût du sel).
L’UBF est une alternative à l’adoucisseur au plan technique : il a non seulement une action préventive contre le calcaire, ce qui est le cas également de l’adoucisseur. Mais aussi une action curative, une action anticorrosion (l’effet de passivation) et une action qui limite le développement du biofilm : actions que n’ont pas les adoucisseurs.
(Pour limiter l’action corrosive d’une eau adoucie, la pratique courante est d’injecter dans l’eau chaude des produits afin que se forme un filmogène inhibiteur de corrosion. Mais celui-ci a tendance à venir obstruer les vannes d’équilibrage et autres accessoires, raison qui incite de nombreux chauffagistes à renoncer à ce filmogène).
Pour la plupart des applications, avec l’existence d’appareils anticalcaires très fiables, l’adoucisseur n’est plus justifié ; c’est uniquement pour des applications particulières nécessitant une eau de très faible dureté que l’adoucisseur conserve un avantage : un lave-vaisselle de collectivité, un four-vapeur, un osmoseur, par exemple.
C’est très simple : dans le cas de l’adoucisseur, c’est sa maintenance qui est le véritable problème. C’est une contrainte qui justifie qu’elle soit souvent confiée à un traiteur d’eau. C’est alors un coût qui s’ajoute au reste : sel + eau de rinçage + produits inhibiteurs de corrosion.
En comparaison, l’appareil UBF n’a aucune maintenance, donc pas de frais de fonctionnement.
BON À SAVOIR : pas besoin d’être expert en traitement de l’eau pour faire
BON À SAVOIR : il est important de s’équiper d’un procédé anticalcaire pour éviter la surconsommation d’énergie due au tartre. Cependant, si c’est compensé par le rejet dans la nature de milliers de m3 d’eau pour le rinçage de l’appareil et le rejet dans la nature de tonnes de sel, comme c’est le cas avec les adoucisseurs, le bilan environnemental est peu convaincant.
Au contraire, avec un appareil UBF à Ultra Basses Fréquences, c’est la garantie de n’avoir aucun impact sur l’environnement.
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